Franchise Like a Dragon : comment SEGA a failli passer à côté d’une série culte

Imaginez le monde des jeux vidéo sans l'une de ses séries les plus captivantes, Like a Dragon, connue initialement sous le nom de Yakuza au Japon.

Une origine incertaine #

Cette série serait presque restée dans l’ombre, non développée, si SEGA avait maintenu sa décision initiale. Le succès actuel de Like a Dragon, avec ses personnages hauts en couleur et ses scénarios extravagants, cache bien des luttes en coulisses.

Le créateur de la série, Toshihiro Nagoshi, a dû faire face à un refus catégorique de SEGA lorsqu’il a proposé le premier jeu. À cette époque, les jeux japonais perdaient du terrain face à la montée des développeurs occidentaux. SEGA cherchait des concepts susceptibles de séduire le grand public international, ce qui n’était pas le cas de Yakuza, jugé inadapté pour les enfants, les femmes et les publics étrangers.

La persévérance face au rejet #

Nagoshi n’a pas abandonné malgré ces refus. Sa détermination a finalement payé lorsque, après avoir présenté son projet à plusieurs reprises, SEGA a finalement donné son feu vert. Cette approbation n’est pas venue de méthodes traditionnelles, mais de la confiance et de la persévérance de Nagoshi, convaincu que le concept unique de Like a Dragon méritait une chance.

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Le lancement du jeu en 2005 a marqué le début d’une série désormais emblématique. À ce jour, Like a Dragon a engendré huit suites principales et divers spin-offs, atteignant un total impressionnant de 21.3 millions d’unités vendues jusqu’à la fin de 2024. Ce succès démontre la richesse que peut apporter la diversité thématique dans l’industrie du jeu vidéo.

L’impact culturel et commercial #

Like a Dragon ne se démarque pas seulement par ses ventes. La série a influencé de manière significative la culture populaire et le secteur du divertissement. Chacun des titres a apporté une narration profonde et des personnages mémorables, enrichissant l’expérience des joueurs et laissant une empreinte durable dans le monde du jeu vidéo.

La saga de Like a Dragon est un exemple parfait de la manière dont une vision créative, associée à une persévérance acharnée, peut transformer un risque en succès retentissant. Cela rappelle aux créateurs de jeux vidéo du monde entier que les idées non conventionnelles méritent d’être poursuivies et peuvent mener à des succès inattendus.

  • Refus initial de SEGA
  • Lutte de Toshihiro Nagoshi
  • Triomphe commercial et culturel de la série
Aspect Détail
🚫 Refus SEGA a initialement refusé le projet, le jugeant inadapté pour les enfants, les femmes et les audiences internationales.
🎮 Lancement Le premier jeu Like a Dragon a été lancé en 2005 et a marqué le début de la popularité de la série.
📈 Succès La franchise a vendu 21.3 millions d’unités à la fin de 2024, confirmant son succès mondial.

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4 avis sur « Franchise Like a Dragon : comment SEGA a failli passer à côté d’une série culte »

  1. Je savais pas que SEGA avait failli refuser le projet de Like a Dragon! Ça aurait été une énorme perte pour les gamers. Heureusement, la persévérance a payé. 👏

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  2. Intéressant l’article, mais j’aurais aimé plus de détails sur les autres titres de la série. Quels sont les scénarios des spin-offs par exemple?

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  3. C’est dingue de penser que tout cela aurait pu ne jamais exister si Nagoshi n’avait pas insisté! Ce genre d’histoire montre bien qu’il ne faut jamais abandonner ses rêves, même face à des géants comme SEGA.

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  4. Honnêtement, je trouve que SEGA a souvent du mal à reconnaitre les bonnes idées dès le début. C’est pas la première fois qu’ils sont passés près de rater un gros coup. Heureusement que Nagoshi a tenu bon!

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